Le Monsieur qui vendait des choses inutiles • Décembre | 2019

Éditiones Le Cadratin | Atelier Typographique

A près Douchinka, La Poussette, Rose Envy et Jeux, Dominique de Rivaz explore les confins du « dédevenir » (helvétisme peu usité, hérité de l’allemand entwerden, péricliter, dépérir), un verbe qu’elle conjugue de tout son être et dont il est bon de retenir qu’il n’est pas autorisé au Scrabble.

L a formule est nouvelle chez elle, un recueil de textes aux thèmes et à l’atmosphère très divers: autobiographie, chronique familiale, mémoire vive, imagination débordante, portraits et descriptions au subtil réalisme, anecdotes…Une belle langue les met en valeur et la poésie équilibre une dureté parfois cruelle. Une passion créatrice qui protège du désespoir.

La critique

Avec humour tantôt délicat et tantôt ravageur, Dominique de Rivaz laisse libre cours à sa fantaisie et signe un opus débridé aussi joyeux qu’irrévérencieux.

Le CourrierJanvier 2020

Comment résister à une façon aussi délirante de raconter l’être humain face au grand mystère de la vie et de la mort.

ArcInfoDécembre 2019

Le sujet est pourtant sérieux. Le corps qui vieillit, les derniers instants jusqu’à l’ultime soupir. Mais l’auteure décidément, préfère le sourire en coin, le regard vache, l’affrontement un pas de côté. Face au vide et à l’essentiel, il n’y a que l’humour pour sauver la face.

La Liberté07.12.2019

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